Le Nécromanchien

Matthias Arégui livre une fable hilarante sur la créationLe Monde

Bande dessinée

* 120 pages — 120 pages en quadrichromie sur un papier Amber Graphic 140g 
* 22.8 x 1.2 x 30.6 cm
* couverture cartonnée
* reliure cousue avec tranchefile
* Parution 09/2023

Éditions2024

Matthias Arégui livre une fable hilarante sur la création.LeMonde

“Récit d’un peintre déprimé qui trouve l’inspiration grâce à un adorable chien, le nouvel ouvrage de Matthias Arégui sur la mouise artistique se révèle aussi beau que sombre.” Libération

“Avec Le Nécromanchien (éd. 2024), Matthias Arégui explore la difficulté de créer, et nous emmène dans un grand-huit émotionnel humoristique, mais pas cynique. À travers des personnages très caricaturaux, il sonde le désespoir humain, raconte sans moquerie la rédemption par l’affection animale.” Télérama

Le résultat est donc un album plein de surprises, faussement naïf, une chouette comédie fantastique, pas hollywoodienne mais presque, qui donne envie d’aboyer à tue-tête : « Woooouushh! » Bodoi

“Le Nécromanchien est un ouvrage captivant et qui sort vraiment de l’ordinaire. C’est indéniablement une des BD marquantes de la rentrée!” https://sceneario.com/

Au final, cette histoire surprenante s’avère aussi dingue que drôle, que tendre, que triste, que cynique… Et cette étrange BD impossible à lâcher ! Quai des brumes, Strasbourg

Matthias Arégui interroge en toute décontraction le mystère de la création artistique et de fidélité des animaux domestiques. Fort d’une identité graphique reconnaissable entre mille et d’un goût du jeu de mot délicieusement (tou)tout-terrain, Le Nécromanchien est un PUR bonheur de lecture ! Clément, Librairie Gallimard, Paris

Matthias Arégui mélange habilement les genres, avec humour et tendresse et nous offre l'un des albums les plus réjouissants de la rentrée ! Pierre Dufrenoy, Les Guetteurs de Vent, Paris 11

“Ça fait déjà quelques livres qu’Arégui promène son toutou. Avec ce Nécromanchien habité par le dynamisme et l’expressivité du dessin, il touche l’air de rien directement au cœur, avec une pudeur et un esprit qu’on osera qualifier de politesse du désespoir.” Esprit Bd, Clérmont ferrand

Hans Dubonheur et John Morose sont artistes, et se connaissent depuis toujours. Mais si Dubonheur et ses tableaux de chats connaissent un succès retentissant, le monde de l’Art persiste à laisser Morose à ses portes. Incapable de créer, Morose se retranche inlassablement derrière l’idée qu’il lui manque LE bon pinceau, LA bonne couleur… et refuse de voir qu’il est avant tout paralysé par ses doutes. Mais un jour, son magasin de fournitures préféré est remplacé par une animalerie : quel désarroi ! En lieu et place du pinceau qui aurait tout changé ― c’est sûr ― Morose rentre chez lui avec, entre ses bras, un adorable petit chien… Dans son petit pavillon décrépi, à l’ombre de l’écrasante maison-atelier de son ancien camarade des Beaux-Arts, Morose rencontre alors le regard dévoué de son nouveau compagnon, et s’émerveille : le destin aurait-il enfin décidé de rebattre ses cartes ? Après « Bob et Sally sont des copains », « Papayou » et « Micro Zouzou chez les maxi-zinzins » (avec Léon Maret), Matthias Arégui continue de célébrer l’amitié en puisant dans les codes du manga autant que dans ses souvenirs de 60 millions d'amis. Il navigue librement entre les registres, nous fait rire (en nous tirant une larme sans qu’on y prenne garde), pour nous parler cette fois, avec sincérité, de la condition d’artiste : créer pour entamer un dialogue avec le monde, tout en étant écrasé par l’idée que personne, peut-être, ne répondra… Sans jamais se départir de son humour, avec un talent sans pareil pour mettre en scène la tendresse, Matthias Arégui signe ici son livre le plus riche et abouti. Un chien, des chats, des doutes ― et un fantôme, évidemment : Le Nécromanchien est un récit plein de lumière, aussi surprenant que drôle, aussi élaboré que poignant : l’œuvre remarquable d’un artiste qui a trouvé son langage.

Suivant
Suivant

La perle